LE MANQUE DE TRAVAIL ENTRAINE LA PAUVRETE DANS NOS COMMUNAUTES EN R.D.C.



LE MANQUE DE TRAVAIL ENTRAINE LA PAUVRETE DANS NOS COMMUNAUTES EN R.D.C.
Dans la société traditionnelle et dans certains milieux urbains, la femme, en tant que mère et épouse, a pour mission de nourrir sa famille, d’accomplir les travaux ménagers et tous les autres métiers liés à la survie de celle – ci. Par ces différents travaux (champs, pêche, puiser de l’eau, …), elle est amenée à faire plusieurs kilomètres à pied et dans des milieux insécurisés qui l’expose aux attaques des hommes en armes.
Ici l’histoire d’une femme à qui la vie n’a jamais sourire, toujours les difficultés depuis qu’elle était mariée jusqu’à maintenant. L’intéressé a 6 enfants, dont 2 filles et 3 garçons ; son marie ne travail pas, elle fait le petit commerce, mais de quelle genre mon Dieu ? Avec combien d’argent ?
Son premier enfant avait tout juste terminé le 2e C.O (études secondaire) il vivait chez certains membres de la famille mais ce dernier menant une vie difficile que celle menait chez ses parents, et cet ainsi qu’il dit à ses parents qu’il part se débrouiller aussi ailleurs et voir comment sera sa vie future, le second qui étudiait encore, elle arrive en 6e primaire, les parents deviennent encore incapable de le payé les études, et à l’heure où je raconte cette histoire, ses parents disent qu’ils ne savent pas s’elle a réussi ou échoué car ils n’ont pas encore terminé à payer le 3e trimestre pour clôturer cette année scolaire.
En ce qui concerne les parents, le père est en chômage et la maman vende un bassin des mangues qui vaux à 2.5 $ U.S dont 2000FC, dans une maison en location, et contenant 5 enfants car un est déjà parti dans le qui cherche, la maman raconte en disant que ça fait 8 mois qu’elle ne paies pas le loyer et donc le bailleur se fatigue déjà de leurs dettes et il pense a les chassé dans sa maison, alors elle ne sait pas où elle va partir avec ses enfants.
La pauvre femme très inquiète, présente sa doléance auprès de moi en disant : « si une fois je trouve même 10$, je peux me débrouiller pour la survie de mes enfants et chaque fin de mois je pouvais toujours donner 0.5$ d’offrande à mon Dieu et voir comment payé le loyer jusqu’à ce que mon mari trouvera un boulot» comprenez quelle misère que mène cette femme jusqu’au point de manquer même un petit rien pour la survie de ses enfants et la scolarisation de ces derniers. C’est cette misère qui entraine les filles de nos communautés à faire le mariage précoce et dans lapse de temps aboutisse à la divorce.
En faisant ce parcourt, j’étais très fatiguée et comme chez nous à Bukavu, le moyen de transport coûte très chère, vraiment j’ai souffert pour élaborer cet histoire. En plus les matériels continuent à faire défaut, entre autre l’ordinateur, l’appareil photos, le camera, etc.



English translation by community member jmasa



The Lack of Work Leads to Poverty in Our Communities in DRC



In traditional society and in certain urban centers, the woman, as mother and spouse, has the duty of providing for her family, of fulfilling household tasks and all other jobs linked to the survival of her family. By these different jobs (fields, fishing, drawing water...), she has to walk several kilometers in insecure environments which expose her to attacks of armed men.
Here is the story of a woman to whom life never smiled. She has always had difficulties since she was married until now. The concerned woman has six children, 2 girls and 3 boys. Her husband doesn't work, and she has a small business, but of what kind, my God? With how much money?
Her first child had just completed the second C.O. (secondary studies). He lived with some family members, leading a life as difficult as the one at his parents' house. He tells his parents that he is leaving to get by on his own elsewhere and to see how his future life will be. The second one who is still studying, is in 6th grade. The parents are once more unable to pay for her studies, and at this hour her parents say that they don't know if she passed or failed because they have not yet finished paying the third quarter to finish this school year.
As far as the parents are concerned, the father is unemployed and the mother sells a bowl of mangoes worth $2.50 (82,000 Congo francs ).They live in a rented house, with 5 children, as one has already left. The mother says that it has been 8 months since she has not paid the rent and therefore the landlord is already tired of their debts and he his thinking of driving them out of his house. So she does not know where she will go with her children.
The poor worried woman, presents her grievances to me while saying “If once, I find even $10, I can manage the survival of my children. At the end of each month, I could always give $0.50 of offering to my God, pay the rent until my husband finds a job.” Understand that it is such poverty that leads this woman to lack even a few things for the survival and schooling of her children. It is this poverty which leads the girls of our communities to marry prematurely which is a short while ends in divorce.
Throughout this process, I was very tired, and like at home in Bukavu, the means of transportation is very expensive.. I really suffered in producing this story. Furthermore the materials continue to to have flaws, between the computer, the camera, the video camera, etc.

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