pourqoui la geurre chaque jour ,quel profit de tuer les freres

L'eouvre socail pour le developpement integre lancer son cri de l'alarme pour la sitution de goma

le rapport de goma comme parti de la rdc deplore svp

L RDC: le M23 menace de marcher sur Goma
Bertrand Bisimwa, chef du M23 ici aux côtés de combattants à Bunagana, le vendredi 2 août, menace de lancer ses troupes sur Goma.
Bertrand Bisimwa, chef du M23 ici aux côtés de combattants à Bunagana, le vendredi 2 août, menace de lancer ses troupes sur Goma.
REUTERS/James Akena
Par RFI

Le M23 a menacé, ce samedi 3 août, de reprendre Goma « si le gouvernement ne respectait pas ses engagements ». Fin novembre, le M23 avait occupé Goma, capitale du Nord-Kivu et ne s’en était retiré que sous la pression des Etats de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), en échange d’une promesse de l'ouverture d'un dialogue avec Kinshasa. Dialogue au point mort. L’envoyée spéciale de RFI a rencontré le chef politique du M23, dans son quartier général de Bunagana, au nord de Goma, près de l’Ouganda.

C’est à l’extérieur, devant un paysage de montagne, à côté de la maison qui tient de quartier général au M23 que Bertrand Bisimwa reçoit ses militaires. Entouré de quelques hommes en arme, portant un treillis, le chef politique du M23 paraissait serein. Pourtant il n’a pas mâché ses mots : « Si Kinshasa ne respecte pas ses engagements, le M23 se réserve le droit de reprendre Goma », comme en novembre dernier.

Le M23 juge avoir rempli sa part des accords

Les engagements, inclus dans un accord quasiment tombé dans l’oubli, n’ont jamais été vraiment appliqués. Ils prévoyaient, en échange du retrait du M23 de Goma, l’ouverture de négociations à Kampala, la démilitarisation de la ville ou encore la gestion conjointe de l’aéroport entre Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), le M23 et une « force neutre ». Le M23 estime avoir rempli sa part du marché et en appelle à un retour au cessez-le-feu, pour permettre des négociations apaisées. Ces négociations qui, à Kampala, sont au point mort depuis plusieurs mois.

Et cette menace intervient alors que la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en RD Congo (Monusco) vient de mettre en place une zone de sécurité autour de Goma et que de récents combats ont opposé le M23 à l’armée régulière, qui a gagné du terrain. Celle-ci, depuis, demeure bien implantée sur ses positions, à une dizaine de kilomètres au nord de Goma, à quelques centaines de mètres de celles du M23.

« On voit bien maintenant, explique Thierry Vircoulon, chercheur à l'Institut français des relations internationales (Ifri), que soit les négociations de Kampala aboutissent à quelque chose, parce que tout le monde est un peu fatigué de ces pseudo discussions qui ont commencé il y a neuf mois, soit c’est l’option militaire qui va prévaloir. Et comme on sent que tout le monde est en train de se préparer, que ce soient les Nations unies ou l’armée congolaise, le M23 réagit et continue d'exiger des négociations. »
que la paix regne a goma et retirer les troupes des m23
emmanuel balagizi
osodi
bukavu,

English translation by community member mucolaura

Why war every day, what benefit from killing brothers?

The social work towards integral development sounds the alarm for the situation in Goma

\"The DRC: M23 (aka Congolese Revolutionary Government) threatens to march on Goma. Bertrand Bisimwa, chief of M23 here on the side of fighters in Bunagana, Friday August 2nd threatens to send his troops to Goma.\"

REUTER/ James Akena
Via Radio France Internationale

“M23 threatened, on Saturday August 3rd to retake Goma “… if the government doesn’t respected their agreements” At the end of November, M23 occupied Goma, the capital of North Kivu and would not have retreated if not for pressure from edicts by CIRGL (International Conference on the Great Lakes Region), in exchange for a promise to open a dialogue with Kinshasa. A dialogue on a dead/ null point. Special envoy of RFI met with the political chief of M23 in his headquarters in Bunagana, in northern Goma, near Uganda. “

“Outside, in front of mountainous countryside, near the house that holds the headquarters of M23 that Bertrand Bisimwa received his soldiers. Surrounded by armed men in uniform, wearing a combat uniform, the political chief of M23 looked serene. However, he did not mince words; “If Kinshasa does not respect/uphold their agreements, M23 reserves the right to retake Goma,” like last November.

\"The M23 assess/believe to have fulfilled their part of the agreements

\"The agreements, included as part of a deal that was somewhat forgotten, never having been really implemented. The agreements foresaw, in exchange of the retreat of M23 from Goma, the opening of negotiations in Kampala, the demilitarization of the city and the collaborative management of the airport between the Armed Forces of the DRC, M23 and a “neutral force.”M23 believe to have fulfilled their part of the work and calls to reinstate the cease-fire, to allow peaceful negotiations. Those negotiations in Kampala have been at a deadlock for many months.

This threat comes when MONUSCO (United Nations Mission to Stabilize the DRC) had just put in place a security zone around Goma and recent battles that opposed M23 and the regular army, which has gained ground. The regular army has since positioned itself at ten kilometers north of Goma and hundred meters from M23.

“Thierry Vircoulon, researcher at French Institute of International Relations explains that we see now that either the Kampala negotiations will come up with something since everybody is tired of the discussions that begun nine months ago or the military option will avail. We feel like everybody is getting ready, United Nations, the Congolese Army, the M23 reacts and continue to demand negotiations.”

\"We see now, explains Thierry Vircoulon, peace reign in Goma and withdraw M23 troops\"

Emmanuel Balagizi
Osodi
Bukavu