LES FEMMES CHERCHENT A DEVENIR AMIES DES ABEILLES en S'INTENGRANT DANS L'APICULTURE A BUKAVU,UNE PETITE HISTOIRE



A Bukavu,au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, dans le territoire de Walungu, secteur de Kamisimbi,hiemba, plus de 15 villages vivent de l'apiculture comme activités secondaires et primaire, après l'agriculture de substance. L'apiculture procure et assure la moitié des revenus des populations locales. On estime à une production de 200 kg la saison qui commence en décembre jusqu’à juin de l'année suivante. Malgré les moyens rudimentaires avec 72 ruches traditionnelles, les populations de la région de de MUMOSHO, s'adonnent à l'apiculture traditionnelle depuis plusieurs décennies. Les technologies utilisées sont encore rudimentaires, les écorces d'arbres sont coupées et trouées pour former les ruches et parsemées à travers les savanes boisées conservées à cette fin. Un ménage apicole parvient à installer 42 ruches de 1,2 m de long et 50 cm de large. Très facile à transporter et à placer ces troncs d'arbres, les apiculteurs, et Apicultrice parviennent à fabriquer des dizaines voire des centaines. Mais la défaillance de cette technologie, c'est la qualité des ruches, l'abattage des arbres qui deviennent de plus en plus rares et la destruction de l'habitat naturel des abeilles. Du côté gestion des ruches et des essaims, les apiculteurs et apicultrices, utilisent la fumeux comme moyen de sommation. Le désavantage de la technologie de sommation, qu'elle détruit même les abeilles et difficile de récupérer la reine. Du côté de la qualité de miel, le miel bien qu'il soit naturel , il n'est pas de haute qualité. Ainsi, en 2004 et 2009,avec l’organisation 3 SEPT avait l'option de pouvoir organiser plusieurs formations dans la fabrication des ruches top bar ( en bois de 1m²), mais ...surélevé à 1 m sur sol et facile de gérer et récolter le miel à plusieurs fois et de protéger les abeilles. L'autre avantage, l'utilisation d'une fumée moins nocives et la capture de la reine. Cette technologie n'a pas perduré dans le milieu à mon avis puisqu'il n' a pas été expérimenté sur le long terme et sur le plan économique. Quelques années après, les apiculteurs ont et continuent toujours à utiliser les ruches traditionnelles. Toute fois, l'activité est toujours maintenu et le prix au litre vaut la peine actuellement car c'est 2 $ au litre localement et 5 $ dans les grandes cités vu que le besoin en pleine croissance.Mais les obstacles qui affectent tant les femmes apicultrice sons les manques des matériels,quelque que fois ont le déplace les ruches la nuit,et manque des formations pour les développement.Assistons ces femmes amies d'abeille



English translation by community member Anna L.



THE WOMEN IN BUKAVU ARE LOOKING TO BECOME FRIENDS OF THE BEES BY TAKING PART IN BEEKEEPING – A SHORT HISTORY



In Bukavu, South Kivu, the Democratic Republic of Congo, in the Kamisimbi hiemba sector of the Walunga territory, more than 15 villages make a living off beekeeping as a secondary or primary activity after subsistence farming. Apiculture brings in and ensures half the revenue of the local populations. Production is estimated at 200 kg a season, which begins in December and lasts until June of the following year. Despite rudimentary resources – 72 traditional hives – people in the Mumosho region have been dedicated to traditional beekeeping for several decades. The technologies used remain rudimentary; tree bark is cut and pierced to make the hives and scattered across the forested savannahs preserved for this use. A beekeeping household manages to install 42 hives that are 1.2 m long and 50 cm wide. These tree trunks are very easy to move and put in place, and the beekeepers manage to produce dozens, even hundreds. But this technology has several drawbacks: the quality of the hives, the fact that trees that are becoming more and more rare are cut down, and the destruction of the bees' natural habitat. To manage the hives and colonies, the beekeepers use smoke as a calming agent. The drawback of this calming technique is that it actually kills bees and it's difficult to recuperate the queen. As for the honey's quality, although it's natural, its quality is not high. So, in 2004 and 2009, the organization 3 SEPT offered several trainings on how to build top bar hives (made from 1 m2 wood); these are raised 1 m from the ground and they are easy to manage and collect honey from several times, and make protecting the bees easy. The other advantage is that a less harmful smoke is used and the queen can be captured. In my opinion, the use of this technology didn't continue because it wasn't tested over the long term and economically. Several years later, the beekeepers have continued to use traditional hives. Still, the activity continues and the price per liter is currently worth paying -- $2 per liter locally and $5 in the big cities given that need is growing fast. But the very real obstacles these women beekeepers face are lack of materials, the occasional moving of hives during the night, and lack of development training. Let's help these women friends of the bees.

Like this story?
Join World Pulse now to read more inspiring stories and connect with women speaking out across the globe!
Leave a supportive comment to encourage this author
Tell your own story
Explore more stories on topics you care about