les points sexuellements transmissibles: une gangrène pour les universités en RD Congo

Pourquoi les filles étudiantes ne doivent réussir leurs études qu'au prix des relations sexuelles pour les points?
Voici donc la question qui me tient à cœur.

Depuis des années une pratiques dite "points sexuellement transmissible" se fait un place dans les universités congolaises. Cette pratique consiste au fait qu'une fille est convoitée par un enseignant qui lui demande de coucher avec lui pour les reussir son cours. Une fois la fille convoité quelle que soit l'effort qu'elle va fournir pour réussir à ce cours, ce professeur lui fait toujours des échecs afin de l'imposer une relation sexuelle;

"Cette cas je l'ai vécu il ya deux ans quand une amie de l ‘université a contracté un rapport sexuelle avec un enseignant et malgré cela elle a échouée l'année, ce qui lui a donné le courage de dénoncé car l'enseignant n'a pas honoré sa parole. Ce qui est surprenant, malgré la dénonciation et au tribunal et à l'université la fille n'a pas eu raison et l'enseignant n’a subit aucune mesure décourageant ces actes"

Finalement, volontairement ou involontairement beaucoup des filles le font. Malgré leurs capacités intellectuelles elles sont obligées à la faire parce que:

-Premièrement, la plus part des familles n'ont pas assez de moyen pour scolariser leurs enfants surtout les femmes car elles sont peu à faire les études universitaire; à tout pris les filles se sentent dans l'obligation de réussir et cela par n'importe quel moyen afin de continuer à bénéficier de la prise en charge pour les études universitaires.

-deuxièmement le système judiciaire n'est pas assez efficace pour décourager ces genres de pratiques dans les universités car l'impunité règne encore.

-troisièmement, la plus part des universités souvent ne s'intéressent pas aux revendications des étudiants car ils préfèrent perdre un étudiants que perdre un enseignant d'université du fait que les professeurs d'université sont un produit rare au pays.

-quatrièmement, nombreuses familles ont peur de dénoncer cette pratique pour ne pas salir la réputation de leurs filles car ici le fait de contracter un rapport sexuel est un Tabou. Les familles préfèrent cacher la vérité pour préserver la réputation de leur fille car chez nous une fille aux relations sexuelles tend à devenir un jouer pour les hommes et perd ainsi ses chances pour contracter un mariage et fonder une famille.

Malheureusement certaines filles qui aiment la facilité ont fait de cette pratique une stratégie pour réussir leurs études; elle ne sont pas régulière aux cours, ne répètent pas leurs cours, elles ne fournissent pas d'effort car elles savent qu’elles vont arranger le problème cotes (notes) de cours au Lit de l ‘enseignant.

S’il faut vraiment construire un monde meilleur dans la quelle il faut bien vivre,
S’il faut construire un monde dans la quelles les valeurs et la dignité humaines sont considérées,
S’il faut compter sur une jeunesse pour un pays qui cherche à se développer,
S’il faut promouvoir la jeune femme universitaire pour son efficacité dans le futur,

N'est il pas d'importance de commencer par favoriser les valeurs à la place des antivaleurs?
Ne faut 'il pas favoriser la justice à la place de l'injustice?
Ne faut t'il pas décourager la facilité en encourageant le travail par la mérite?

Bref le monde aujourd'hui nécessite l'implication de tous le monde et à tous le niveau;
Et l'implication de tous commence par "la dénonciation"
Voila mon cri de chaque jour!

Crier ce mal à plus des gens que possible,
Crier ce mal à plus de famille que possible,
Crier ce mal à plus des universités que possible
Crier ce mal à tous les décideurs que possibles
Car l’avenir de notre pays, celle de nos familles, celle de nos frères et sœurs, parents et enfants en dépend endorment.

Cri d’un jeune étudiants Congolais.

English translation by community member maggie_dziubek

Why should school girls succeed in their studies at the cost of sexual relations for points?
This, then is the question which has a hold on my heart.
Over the years, a practice called, “sexually transmitted points” has taken hold in Congolese universities. This practice consists of the fact that a girl is coveted by a teacher who requests that she sleep with him in order to pass his course. Once a girl is coveted, no matter what effort that she makes to succeed in the course, the professor always makes sure of failures in order to impose a sexual relationship.

“This case I have seen for two years when a friend from university entered into a sexual relationship with a teacher and unfortunately she failed the year, the thing that gave her the courage to speak up was that the teacher did not honor his word. What is surprising is that, despite the denunciation and the court at the university, the girl did not have a reason and the teacher has not been submitted to any measure to discourage these acts.
Finally, voluntarily or involuntarily, many girls do this. Despite their intellectual capacities they are obligated to do so because:

-Firstly, the majority of families to not have enough means to educate their children, especially their women because they cannot study at a university level; girls feel obligaed to succeed at all costs and therefore it isn’t important what means they use to continue to benefit from the support for their university studies.

-Secondly, the judicial system is not efficient enough to discourage these kinds of practicses in universities because impunity still reigns

-Thirdly, the majority of universities are not interested in the claims of students, because they prefer to lose a student than lose a teacher of the university, due to the fact that university professors are a rare thing in this country.

-Fourthly, many families are afraid to denounce this practice in order to not sully the reputation of their daughters because here starting a sexual relationship is a taboo. Families prefer to hide the truth to preserve the reputation of their daughter because in our country a girl who has sexual relations tends to become a toy for men and loses, therefore, her chances to begin a marriage and start a family.

Unfortunately, some girls quo like the facility have made this practice a way to succeed in school; she doesn’t go to class regularly, doesn’t reports her course and they do not try because they know that they will be able to fix the problem with points in the teacher’s bed.

If we truly construct a better world in which living is good.
If we create a world in which values and human dignity are considered
If developing countries relied on youth.

If we promote the young woman universally for her usefulness in the future
Is it not important to promote positive values in the place of negative values?

Should we not favor justice over injustice?
Should we not discourage ease and encourage work by merit.

Crying out about this issue to as many people as possible.
Crying out about this issue to as many family members as possible.
Crying out about this issue to as many universities as possible.
For the future of our country, that of our family, that of our brothers and sisters, parents and children and dependents.
Cry out for young Congolese students.