FEMME ET DEVELOPPEMENT

La non-discrimination par sexe et de l’égalité des chances tant dans l’éducation que dans les autres secteurs conduit à la formulation de stratégies précises.

Les femmes rurales sont considérées comme les plus défavorisées .Un type de développement économique et social qui assurerait la participation des femmes , en, pleine égalité avec les hommes, dans tous les domaines d’activités, qu’il s’agisse de l’égalité d’accès à tous les emplois, de l’égalité de rémunération pour un travail d’égale valeur et d’égalité de possibilités d’éducation et de formation professionnelle et dans lequel la législation relative à la protection des travailleuses tiendrait compte du fait qu’il est nécessaire qu’ une femme puisse travailler, être très productive, administrer,très efficacement toutes les affaires politiques, économiques et sociales et développer le secteur des services sociaux de manière à alléger les travaux domestiques des femmes et des hommes.

En milieu rural Africain, le principal effet de l’invisibilité du travail féminin est que la qualification agricole, égale au départ pour les deux sexes, devient différente et hiérarchisées.

Le travail des femmes est souvent invisible, non seulement dans leur rôle reproductif mais également dans leurs rôles productif ou communautaire.

De plus, les femmes, déjà discriminées dans l’enseignement primaire, classique, le sont également dans la formation extrascolaire où les programmes destinée aux femmes sont axés principalement sur leur rôle domestique (arts managers, puériculture…), leur charge de travail ne leur permettant pas, le plus souvent, de suivre régulièrement les cours d’alphabétisation.