Violences faites ala femme propositions,ma vision,solution, conclusion



Parler de la violence faite a la femme est un sujet très complexe ,beaucoup d'organisations on fait de ça un projet pour s'enrichir mais les pauvres citoyennes son t restes dans la même condition de vie .Plus d'une femme est violée, violentée dans les ménages que dans les lieux de service, de culte et autres milieux sociaux. Certaines d'elles sont violées ,violentées sans qu'elles ne le sachent, d'autres par complexe d’infériorité et surtout le cas étonnant c'est de voir la femme travailleuse qu'on croyait informée de ses droits et devoirs se laisser violer,violée par son chef de service ou patron lui promettant une promotion. Alors, pour parler a cette difficulté,il faudrait procéder par une sensibilisation de porte a porte en vie de forme et informer la femme ou la fille sur les violences faites a son égard mais aussi de ses droits et devoirs a la violence ne serait qu'une éducation insuffisante,car beaucoup des femmes se laissent violer par leur mauvais accoutrement ignorant qu'elles peuvent aussi être auteurs des violence. Raison pour la qu'elle l’éducation sur les violence doit être suffisante.après ça aider financièrement les femmes afin de pouvoir mener des actions judiciaires contre les auteurs des violences faites a son égard quelque soit leurs statuts et rangs sociaux.je ne resterai pas muette sans parler de l’insécurité qui règne en maitre dans la province du sud-kivu.souvent a bukavu lors qu'on est insEcurise on se demande auprès de qui recourir.chose grave lors qu'on a pas des moyens financiers on meurt comme un rat aux yeux même des autorités. l'argent est de première nécessite au kivu ,l' infraction après. Pendant la nuit n'en parlons pas,les services charges de faire la ronde ne circulent que dans des véhicules sur dans la ville d' autre coins sont abandonnes a leur triste sort. en conclusion la vie macabre que mène les kivutiennnes et kivutiens de bukavu selon moi est du au manque de communication entre les dirigeants et diriges.La solution paleative a ces defits ne serait que former et informer les citoyens et et citoyennes de leurs droits et devoirs,une fois toutes les couches atteintes,mener des poursuite judiciaires contre tous les auteurs des infractions des violences faites a la femme sans distinction aucune.Merci da Neema je vient de répondre aux questions que vous m'aviez demande.



English translation by PulseWire member MESSA



Violence against women is a very sensible topic. Several organizations got involved to enrich themselves while the poor women were left in the same condition, their rights violated both at work and in their homes. More than one woman is a victim of violence both at work and in their household as well as social milieus. Some of them their rights are violated without them even noticing it due to inferiority complex. It is surprising to see the working woman we thought was aware of her rights being maltreated by her superior at work or her boss promising her advancement. In order to deal with this, one should proceed from a door to door sensitization of the girl and the woman about the different forms of violations she could face as well as of her rights and obligations. Without this, the fight will be insufficient. Several women’s rights are violated due to their dressing meanwhile they could as well be authors of such violations, the reason why education of women’s rights must be sufficient.
Moreover, women should be given financial assistance to help them undertake judicial actions against those that violate their rights notwithstanding their social rank. Insecurity is reigning in South Kivu. Here in Bukavu, there’s no one to turn to on the issue of insecurity. Also, when one does not have finances, one can die like a rat even in front of the authority. Money come first and crime second. At night, the case is worst. Those in charge of security loiter around in their vehicles only in certain areas while others are left to their fate.
The macabre life the Kivutians of Bukavu live in my opinion is as a result of poor communication between leaders. A solution could be found by training and informing citizens on their rights and obligations. Once all classes are covered, law proceedings should be carried against all those who perpetrate violence against women without distinction.
Thanks to Neema. I just answered the questions you asked me to.

Like this story?
Join World Pulse now to read more inspiring stories and connect with women speaking out across the globe!
Leave a supportive comment to encourage this author
Tell your own story
Explore more stories on topics you care about