ACTIVITE THEATRALE DES FILLES AMBASSADRICES POUR LA PAIX A MUMOSHO, LUNDI 17/11/2014.



Le départ pour MUMOSHO, les filles ambassadrices pour la paix avaient quitté le Centre Maman Shujaa à 8 h30’, le minu-bus se dirigé vers la destination (à MUMOSHO) mais arrivé à l’arrêt de TOYOTA ; nous étions surpris pour la première fois qu’on nous complique sur le taxe routière depuis notre sortie à MUMOSHO, le minu-bus était arrêté par l’ordre de Chef de poste militaire trouvé sur la route motif : sur le taxe de 1000 Franc Congolais dont l’agent de l’Etat répondant au nom de demoiselle IRENE qui n’ayant pas bien expliquer qui elle est, avec méfiance de se faire valoir pour son poste ça soulevé un problème qui demande la justification de son poste avec un document à l’appui en tant que l’agent de l’Etat, elle avait crée une situation incroyable qui a durée deux heures et demi pour perdre le temps, et le chef de poste de militaire avait joué le rôle de médiateur pour réconcilié les deux parties. Dès la libération de minu-bus, notre chemin continuer jusqu’à l’arrivé de MUMOSHO vers 11 h 45’ où tout le monde attendait pour nous accueilli. Sans tarder, nous avons monté directement dans la salle de couture, c’est là que nous avons abordé les trois point pour ordre du jour à cause de temps perdue en cours de route. - --- − Premier point : sur l’éducation à la vie, formatrice était demoiselle Bénédicte BULANGALIRE expliquant comment espace la naissance dans la famille ? En montrant le matériel didactique qui le collier du cycle et posant la question à l’auditoire qui a déjà vu ca ? Ou utilisez ça ? La réponse oui avec de lacune, pour les unes et non pour les autres jamais vu et entendu. Posant à l’auditoire la question, qui peut me donné son cycle mensuel ? Pour correspondre à ce collier du cycle de 32 jours, plusieurs variés entre 26, 27, 28, 30, 32 dont celles de 24 jours étaient exclu parce que ça n’est répond pour le calcul, il y avait aussi l’intervention des certaines filles ambassadrices pour la paix répondaient aux questions de l’auditoire telles que : demoiselle Esperance Muhorakeye, demoiselle Princesse MULUZINYERE, demoiselle Brigitte MAUWA, demoiselle Ariane MOZA et demoiselle Jeanette MASOKA mais nous n’avons pas pu terminer à cause de temps, nous avons envoyé à la prochaine occasion dont le sujet était bien aimé ; à suivre.
− Deuxième point : sur l’alphabétisation, formatrice demoiselle Princesse MULUZINYERE avait fait la révision sur les précédentes pour entamer les nouvelles leçons et voir s’il y a les nouvelles venues qui s’ajoutent.
− Troisième point : sur la formation des formatrices, la formatrice était demoiselle Ariane MOZA qui avait laissé un devoir à chacune mais ce présenter que trois formatrices qui avaient fait le devoir pour enseigner les autres dans la classe avec les matériels didactiques mais une seule formatrice avait présenté son travail avec matériel dont elle avait dessiner un homme avec son chien avec la lettre qui commence avec « B » exemple : bweya
L’appréciation c’est la formatrice qui dira un mot, elle a encore laissé le devoir à la prochaine occasion.
Le début de théâtre était 14 h 45’ dont le Titre : « LA FEMME FACE A LA VIOLENCE SEXUELLE ET AUX VIOLENCES BASE SUR LE GENRE » Ici leçon tiré : la jeune fille doit savoir dire non aux cadeaux données par les garçons.
Après l’atelier était présidé par demoiselle Ariane MOZA sur la violence domestique : les garçons sont privilégés dans la famille que les garçons.
Le programme avais pris fin 16h 15’



English translation by community member Camila



Theatrical Activity with the Young Female Ambassadors for Peace at Mumosho on Monday 11/17/2014



Departing for Mumosho, the young female ambassadors for peace had left the Maman Shujaa Center at 8:30 am. The mini bus was headed towards the destination (to Mumosho), but it arrived at a TOYOTA stop; we were surprised because it was the first time that we had been stopped on the toll way since we left for Mumosho. The mini bus was stopped by the order of a military officer who was head of a military post: we had to pay 1000 Francs Congolais. The state agent with the name Ms. Irenge did not explain who she was and warily explained her position which posed a problem. In order to justify her position at the post, she needs a document that demonstrates her post as a state agent. She caused an unbelievable situation in which two and a half hours were wasted, and the military officer had to act as a mediator to reconcile the two parties. Upon the mini bus’ release, we continued to drive until our arrival at Mumosho at around 11:45 a.m. where everyone was waiting to welcome us. Without delay, we immediately went into the sewing room where we discussed the three points of our day’s agenda due to the time lost in transit.
The first point: speaking on life education was educator Bénédicte BULANGALIRE who explained how to space out birth in families by showing educational materials, such as Cycle Beads and asking the audience who has already seen this? Or who has used this? Some “yes’” were heard while others said they had never seen or heard of them. She asked the audience this question: who can tell me their menstrual cycle? Referencing the necklace with a 32 day cycle, several women varied between 26, 27, 28, 30, and 32. Those with 24 days were excluded because they did not match with the calculation. Certain young female ambassadors for peace intervened by responding to the audience’s questions such as: Ms. Esperance Muhorakeye, Ms. Princesse Muluzinyere, Ms. Brigitte Mauwa, Ms. Ariane Moza, and Ms. Jeanette Masoka, but we could not finish due to timing issues. We will have a second occasion to talk about this; it is to be continued.



The second point: speaking on literacy was educator Ms. Princess Muluzinyere who sought the need to begin new lessons and to see if there were new people who wanted to join.



The third point: speaking on training the teachers was educator Ms. Ariane Moza who gave each woman a task. Three woman had the task to teach in a classroom using teaching materials, but only one teacher presented her work. She drew a man with his dog and showed the letter “B” which is the initial letter of a word, for example “bweya.”
The evaluation would be done on the teacher who says one word, she left the task to be completed at the next occasion.
The beginning of the theater production was at 2: 45 p.m., the title of the production was “Women Confronting Sexual Violence and Violence Based on Gender” The moral of the story: young girls should know how to say no to gifts given by boys.
Ms. Ariane Moza presided onto the stage next and spoke about domestic violence: boys are the most privileged in the family.
The program ended at 4:15 p.m.

Like this story?
Join World Pulse now to read more inspiring stories and connect with women speaking out across the globe!
Leave a supportive comment to encourage this author
Tell your own story
Explore more stories on topics you care about