SANTE, VIOLENCE BASEE SUR LE SEXE



Au village dans les cinquante maisons, il n’y a pas les centres de santé où les femmes peuvent avoir les soins appropriés. Les femmes ne reçoivent pas les soins primaire pour prévenir la femme pendant la grossesse, voir l’évolution de l’enfant jusqu’à la naissance et la femme ne pas soumit aux régimes alimentaires à cause de la pauvreté. Les femmes qui expérimentés trompent les femmes primipares de ne pas se rendent à l’hôpital plus vite, il faut patienter que la grossesse soit à terme, ce qui cause les dégâts; il y a de fois la femme meure avec son enfant lors de voyageKilometrique del’hôpital. Elles sont soumissent à des travaux lourds qui ne les permettent pas d’être en repos. Ce problème de n’avoir pas les centres dans ces cinquante maisons crée les catastrophes dans le village pour le non accès aux soins appropriés pour les femmes, filles et enfants. Ces soins primaires préparent la femme à bien gérer son corps et le temps de réception d’une nouvelle créature qui viendra dans la famille. Le Médecin est là pour donner quelques indices pour une femme ou une fille d'être propre et d'éviter certains germes responsables d'infections si pas bien traités.



Beaucoup des femmes ne sont pas informées sur l’éducation à la vie, dès leurs enfances ne sachant pas comment planifié la naissance? Dans leurs têtes, elles ont l’idéologie de dire que Dieu nous a dit: «soyez fertile et multipliez-vous» ce qui fait l’ampleur de mortalité des femmes pendant l’accouchement.



La manque d’information tué la nation, pas d’accès au développement et la non instruction des femmes, filles causeront beaucoup des problèmes dans plusieurs foyer, communautés etc…



Dans le foyer les femmes n’expriment pas libéralement leurs idées devant leurs maris à cause de coutume qui dit que la femme ne peut pas hausser la voix devant l’homme dont sa mère ne la pas bien éduqué d’où elle doit se soumettre à tout ce que son mari dira. Avec la coutume rétrograde fait que la femme ne parvient pas à briser cette frontière pour aller de l’avant ayant cette idéologie dans sa tête. Il faut le temps pour l’information que la femme a droit à liberté d’expression. L’homme voit que la femme est là pour le ménage et assurer l’éducation de ces enfants, la fille aussi doit garder ces petits frères et sœurs lorsque sa maman parte au champ et elle va se marié. L’homme ignore que l’instruction de la femme, fille est capitale pour la communauté, pays. En effet, la femme, fille instruite feront l’exploit dans le futur pour sa compétence, sa capacité par tout où elles seront à mesure d’aider d’autres femmes dans les villages en partageant leurs connaissances avec les autres femmes. En ce qui concerne la violence basé sur le genre, je parlerai le cas de ma mère, ma mère était marié très jeune dans la famille royal dont la coutume primée; mon Père travailler à la poste à l’époque de TSHOMBE à ELISABTH VILLE actuelle LUBUMBASHI/KATANGA. Mon Père avait fait la prison de KASAPA, après mon Père était sortit de prison. Dès là ma mère avait connu les problèmes très sérieux de violence conjugale de ne pas avoir la paix, le bonheur conjugal. Quand Mon père et ma mère avaient des problèmes dans leur foyer; mon Père avait décidé de se rendre dans son village natale pour la continuité de la vie. Là, il y avait déjà le divorce s’annoncer; arrivé au village de mon Père, le frère ainé de mon Père chercher à tout pris tué ma mère parce qu’elle était très forte en révélation de ces histoires des fétiches. Le grand frère de mon Père sortait pendant la nuit pour aller faire brûler la maison, là où ma mère dormait; ma mère avait entendu les bruits dehors, elle avait vite sortie de la maison pour l’interruption de feu.



Mais le grand frère de mon Père avait toujours gardédent contre ma mère. Mes frères avaient très soufferts dans leurs vies avec d’autres femmes que mon Père avait épousées. Et même un autre enfant était décédé. Mon père était séparer avec ma mère et ma mère était partie commencer sa vie à KALEMIE au Katanga. O ma mère que j'aime, pour sa passion ; elle avait florée la mort pour que je sois en vie et abandonner par mon Père pendant une longue période. Patiente jusqu'avoir ces enfants qui étaient maltraités par ces rivales. Brave Mère qui ne recule par devant un obstacle ou perdre le courage. Merci mon Héros.



Après plusieurs années écoulées mon Père vivait à Kinshasa la capitale de la République Démocratique du Congo. Mon Père revenait me prendre pour Kinshasa où je suis allé rencontrée avec mes frères pour les études. J’avais faitles humanités scientifiques option Biologie-Chimie, j’avais décroché mon diplôme avec la souffrance de ma marâtre qui m’avait fait souffrir pour que je ne puisse pas poursuivre les études supérieures, mais Dieu était grand; j’avais poursuivit mes études supérieures en Informatique de Gestion à Kinshasa. Et dans la province du Sud-Kivu, j’avais partagé ma connaissance avec les autres femmes en les enseignant sur la culture numérique spécifiquement les femmes vulnérables dans l’ONG VOVOLIB en sigle «VOIX DE SANS VOIX NI LIBERTE»



J’avais suivi des formations sur les droits humains, en voyant la souffrance que j’avais connue dans ma vie, et mes droits étaient violés, celles de ma mère parce qu’elle n’avait pas étudiée. Je suis maintenant activiste des droits de l’homme pour la défense des femmes qui n’ont pas le moyen d’être entendu dans le monde. J’avais suivi les formations sur violence sexuelle et basée sur le genre, Logistique, élaboration de projet etc…



Aujourd’hui, j’évolue au centre mama shujaa comme formatrice en informatique, à l’apprentissage de l’outil informatique aux femmes, filles pour faire de plaidoirie à travers l’internet sans l’intervention de l’homme. Et suis fille ambassadrice pour la paix et volontaire de WORLD PULSE.



L'autonomisation des femmes commence avec les aider à sortir de l'analphabétisme. Il est une question de parler pour leurs besoins généraux. Chaque occasion doit être prise à partager leurs connaissances avec ceux dans la communauté locale. Quand il ya une chance pour l'égalité des sexes, il doit être pris - par exemple, les femmes peuvent faire le travail qui se fait habituellement par des hommes par la rupture de leur silence. Une femme doit savoir et comprendre ce rôle qu'elle joue pour une communauté ou une nation afin de prendre sur elle la responsabilité, ainsi que le lourd fardeau qu'elle porte, et de travailler dur. Responsabilité représente donc un grand succès pour toutes les femmes.



Piste des solutions:



Crée plusieurs centres des santés dans 50 maisons des villages



Assurer la santé alimentaire pour les femmes, filles



Sécurité de la population.



Sensibilisations sur les différents domaines des santés pour le développement de la communauté



Création des centres d’apprentissages de l’outil Informatique



Mettre de l’eau potable dans chaque secteur des villages.



Les malfaiteurs soient puni par la loi.



Le respect de l'environnement.



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