Analphabètisme de la femme congolaise



Les statistiques montrent qu'il y a plus des femmes analphabètes que les hommes. Cela est dû à plusieurs facteurs:
- La non considération de la femme dès le bas âges. On annonce la naissance de la fille par un seul cri, celle du garçon par deux cris, les jouets pour les garçon donc des tâches nobles, pour la fille, la vie maternelle et les tâches domestiques, le nom du garçon c'est Nahano, Cubaka, Ntunga qui veut dire le propriétaire, celui qui construit, pilier etc dans la fille on voit la richesse c'est pourquoi elle s’appelle Nabintu, Ziraje, Nankanfu ect, d'où pas de problème si la fille n'étudie pas car elle on amènera la dot, des vaches et autres objets des valeurs par quelqu'un qui étudie pour elle, alors il faut préparer le mariage du frère à partir de sa sœur qui restera analphabète.
- Pas de salaire pour le père qui parfois disparait dans les carrées miniers pendant plusieurs années, la mère se démène, le peu des moyens, c'est la garçon qui est scolarisé au détriment de la fille dont soit disant les études se terminent à la cuisine, cela fut encouragé par l'ancien code de la famille qui exigeait l’autorisation maritale à la femme avant de travailler.
- Plusieurs femmes ne sont pas instruites, elles ne voient pas l'importance d’amener la fille à l’école car elle est mariée, elle a des enfants, par l'ignorance elle véhicule cela aux enfants surtout, étant la première éducatrice , or éduquer une femme c'est éduquer toute une nation.Voilà que ceci va de génération en génération.
- Aussi la non intégration des quelques femmes qui ont déjà étudié avec des atout et des compétences dans les postes de travail les plus importants, ceux de prise des décisions où même trouver du travail avec beaucoup des conditions soit couchée avec le chef ou celui qui aide la fille (femme) à faire les démarches.Ceci décourage parfois les femmes malgré leurs bonnes volontés d'étudier. Le chemin à parcourir est encore long, les femmes doivent se serrer les coudes, avec leurs consciences, l'amour et l'unité nous pouvons vaincre et surtout par les plaidoiries des femmes des villes en faveurs des femme rurales.



English translation by PulseWire member milsgra



Statistics shows that there are more illiterate women than there are men. This is due to many factors: From a very young age women are dismissed. While the birth of a daughter is announced with one shout, the birth of a son is followed by two shouts. Boys learn through play to assume noble causes, but girls are groomed for domestic roles and maternal causes. Boys names are: Nahano, Cubaka, Ntunga meaning owner, builder, pillar while girls denote an investment that is why they name them: Nabintu, Ziraje, Nankanfu etc. She is a mean to monetary gain so schooling is not a priority for she can bring a dowry, cows and other valuable things through someone else’s education so at the sake of the daughter’s education the brother’s marriage must be financed. There is no salary for the father who is lost in the mines for many years. The mother must try very hard with the little that the family has to send the son to school at the detriment of the daughter. The old family code requiring a woman to get her husband’s permission to work encourages the idea that a daughter’s education is limited to the kitchen. Many women are not formally educated; the families don’t see the importance in sending a daughter to school. This cycle continues when that daughter becomes a wife then a mother and because of ignorance she in turns does not send her daughter to school. The mother is the child’s first teacher, and we know that if you educate a woman you educate a whole village. Women who are educated and have the ability and are competent enough to hold important positions are pushed out of the work force because to get the position they often have to sleep with the boss or the man who helped them through the process. This seldom discourages women from applying for jobs even if they have the credentials. We still have a long way to go, women must tighten the ranks with their conscience, love, unity thus we will be victorious. We also need women from the city to plead the case of those in the villages.

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