LES DROITS DES FEMMES



L’analphabétisme de la femme est à la base des plusieurs violences envers les femmes surtout en milieu rural. Depuis longtemps notre journal a montré les violences que rencontrent les femmes, instruites ou pas, villageoises ou citadines simplement parce qu'elle femme. A la question de savoir si avons rencontré les cas, oui, je suis la victime car avec la formation que j' ai reçu, voilà trois ans que je suis au service des femmes dans ma communauté sans aucun soutient de la part de la communauté alors que tous les hommes sont rémunérés même la sentinelle. Je fais cinq distinction à l'université, on ne me retient pas comme assistante parce que j'ai 50 ans malgré nos demandes d'emplois. Les critères s'appliquent sur les femmes et pas sur les hommes. Une de nos présidentes d'églises dont sa terre à été extrapolé par un homme qui continue à corrompre jusqu'à mettre Espérance femme de Kabare dans le cachot la torturée pour qu'elle renonce à ce champs. Elle est passée aux instances supérieurs du chef du village, chez le chef de groupement, chez le mwami qui l' a envoyé chez l'administrateur qui accore beaucoup compliqué le processus. sa belle mère en 2011 à 98 ans, elle fut épousée là-bas sous l'arbre à palabre devant les deux familles, tout ses enfants y habitent et maintenant le type a profité de l'absence du mari d'espérance en brousse pour chercher la survie, on a ravie même les récoltes qu'elle avait planté soit disant que la femme n'a pas le droit de plaider pour la terre et surtout que la coutume affirme qu'une femme ne peut jamais avoir une propriété foncière. Même chose pour Marie veuve de Walungu, l'héritier aussi mort, elle reste avec un petit garçon de 11 ans qui reste seul à la maison, sa mère toujours en fuite pour ne pas être tuée malgré les revendications jusqu'à voir toutes les autorités lors de la Marche Mondiale organisée à Bukavu en 2010, une organisation de la place essaie de les aider mais en vain. L'injustice, la corruption et l'impunité font que ces femmes ne sont toujours pas rétablies dans leurs droits faute d'argent soit pour corrompre, même payer les frais de transports pour exécution, visite, et autres frais justicières, etc une autre à Kadutu dans la ville de Bukavu, s'est déguerpie de sa maison où elle vit avec ses enfants depuis plus de 30 ans car étant commerçante, elle a fait faillite soit disant qu'elle n'aura pas d'argent pour engager cette affaire pour ne citer que ces quelques cas il y a n'en beaucoup. Rappelons que le pouvoir économique des plusieurs femmes ici est trop faibles. Alors les hommes en profitent pour tracasser et bafouer les droits des femmes. Peu des femmes ont fait le droit pour aider leurs consœurs ou aussi elles n'ont pas des postes de décisions pour gains des cause. Alors lançons un cri d'alarme auprès de l'opinion internationale pour que la paix durable rentre au Congo, aux personnes de bonnes volonté pour soutenir les actions d'alphabétisations et écoles de récupérations ainsi que la sensibilisation pour toutes ces femmes qui veulent rentrer au bas de l'école et l'éveil de conscience de toute la société pour bannir les coutumes rétrogrades , à nos autorités d'appliquer les lois ratifiées pour la discrimination positive de la femme, aux églises de s'investir d'avantages dans dans l'éducation et l'instruction des ses fidèles, a ceux là qui ont la possibilité d'accorder les bourses d'études pour la capacitation et renforcement du leadership féminin, aux femmes de s'unir et se tenir la main pour une lutte commune et qu'un jour l’étendard à la main les femmes puissent crier victoire et ceci pour toutes les femmes du monde entier nous crions.



English translation by PulseWire member Camille
Women’s illiteracy is the root of much violence towards women, especially in rural areas. For a long time our journal has revealed acts of violence that women suffer--whether they are educated or not, villagers or city dwellers--simply because they are women. I, too, am a victim because despite the training that I have had, for three years I’ve been at the service of women in my community without any support from the community; meanwhile all the men are paid, even the security guard. I was awarded five academic distinctions at my university, yet I am not kept on [hired?] as an assistant because I am 50 years old—this despite all our [my?] job applications. Standards apply to women and not to men. One of our female church presidents [Esperance] has had her land extrapolated [threatened?] by a man who continues to corrupt--to the point of putting Esperance (Hope), a Kabare woman, in a prison cell and torturing her so that she would give up her fields. Her case was sent to the high body of the village chief, then the group chief, then the “mwami,” who sent her to an administrator who complicated the trial. On this land her mother-in-law turned 98 in 2011, and she was married there under a tree, with endless argument between the two families. All her children live there and now this guy has taken advantage of the absence of Esperance’s husband (who went into the bush to search for a way to survive). The harvests that she had planted were stolen on the assumption that a woman doesn’t have the right to defend her land in court, and especially because customs dictate that a woman can never be a landowner.



The same thing happened to Marie, a widow from Walungu, whose heir [?] is also dead. She lives with an 11-year-old boy who stays alone in the house; his mother is still on the run for not having been killed despite demands for it. During the Marche Mondiale of Bukavu in 2010, they saw the authorities and an organization that is set up there tried to help them, but in vain. Injustice, corruption, and impunity make it so that women are still not restored their rights—this comes from a lack of money, either because of bribery (even paying the transportation costs for execution), visits, and other judiciary fees, etc.



Another woman in Kadutu, in the city of Bukavu, left her home where she lived with her children for more than 30 years because she was a businesswomen and she had gone bankrupt. Apparently she won’t have money to follow this case, to mention only a few cases where there wasn’t enough money. Remember that the economic power of several women here is too weak. So men take advantage to harass and scorn women’s rights. Few women have studied law to help their fellow sisters; or, they are not able to reach a position to make decisions to further the cause. So let’s raise a cry of warning directed to international opinion so that lasting peace comes to Congo; to people of good will so that they will support actions of literacy and recovery schools as well as an awareness campaign for all women who want to start at school; to awaken society’s conscience to ban outdated customs; to authorize us to apply these ratified laws for women’s affirmative action; to churches for investing more in education and instruction to loyal patrons; to those who are able to give scholarships for the habilitation and strengthening of female leadership; to women who unite and hold hands for a common cause; and that one day the flag in the hand of women can cry victory. We will shout this cause for all women in the world.

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