LA FEMME MARIEE SOUVENT VICTIME DANS LE PROBLEME DE LOYER

A l'absence du conjoint, la femme est le plus souvent victime dans le problème de loyer, un jour très tôt le matin a l'absence du conjoint, un agent de l'ordre s'est introduit dans mon domicile avec un mandat d'amener qui avait le nom de mon conjoint. En refusant d'y répondre a la place de mon mari qui est le chef du menage, le policier m'avait brandit son pistolet prêt a ouvrir le feu qu'un voisin militaire vient intervenir en suppliant le policier. Amener dans une poste de la police en vile, âpres m'avoir écouté, on a constante qu'une somme d'argent équivalent a six mois de loyer était déposé chez le chef du quartier. Le bailleur refusait l'argent car il voulait que son locataire lui donne un montant de 300 dollar couvrant 12 mois de garantie de frais de bail. J’avais téléphoner a mon mari qui a son tour signalant a un agent de la MONUSCO charger de la sécurité de civiles qui a intervenu en signifiant au commissaire de la police que le problème entre bailleur et locateur reste un problème civil et ne peut pas être trancher par la police; et que c'est une faute grave de brandir a quelqu'un l'arme a feu. C’est ainsi que comme conjointe j'ai échappé à la mort avec justesse et pourtant innocente dans l'affaire.

English translation by PulseWire member ngalula

MARRIED WOMEN OFTEN THE VICTIM OF PROBLEM RELATED TO THE RENT

In the absence of a spouse, the woman in most cases becomes the victim of problems related to the rent. One day early in the morning when my husband was not there, an officer of the Order came into my house with a warrant that had the name of my spouse on it. When I refused to respond for my husband who is the head of the household, the officer drew his gun to me. He was ready to open fire when a neighbor who’s a soldier intervened begging the policeman. They then brought me at the police station in the city centre, where after listening to me they discovered there was already a sum of money equivalent to six months of rent filed to the Chief. But the landlord refused the money because he wanted us to give him a $300 dollar sum to cover 12 months warranty lease fees. I then called my husband who signaled the situation to an agent in charge of the MONUSCO civilian security. He intervened explaining the police commissioner that the problem between the owner of the house and the landlord is a civil problem and cannot be managed by the police and that is a serious hazard for someone handle a firearm. This is how I escaped death despite being totally stranger to the matter.