PROBLEME FONCIER DE PEUPLES AUTOCHTONES PYGMEES



Le collectif pour Les peuples Autochtones Pygmees Au kivu, CPAKI a travers son animatrice wetewabo munyali aline,vient par la presente vous faire part des maux dont soufrent les femmes autochtones pygmees dans le domaine foncier.
les peuples et les femmes autochtones pygmees ont toujours ete victime des violations de droit de l'homme dont l'expulsion de leurs terre encestrale. la non reconnaissance par l'Etat congolais de leur site ou terroir.
ces violations trouvent leur fondement notamment dans la mise en oeuvre de la politique fonciere en RDC,entre autre la conservation de la nature et l'exploitation forestiere.
les forets qui abritent aujourd'hui le PNKB ont ete traditionnelement occupees par les pygmees.vers les annees 1970,lorsqu'elles furent erriger en Parc National, les pygmees qui y habitaient ont tout simplement été expulse sans aucune mesure de consultation ni indamnisation moins encore,sans compensation equitable.
De ce faits ces communautes ont été vouées à la vie d'errance et de mendicité,car privée de leurs terres ancestrales ,et espace vitale et de leur moyens traditionnel de subsistance.



Ils sont devenus "sendantaires " de force, mais ils n'ont pas de terre,
Ils sont devenus agriculteurs, mais n'ont pas d'endroits où cultivé.
Du faite qu'il ne peuvent plus acceder à leurs ressources naturelles, ils sont sans "revenus" ils accedent difficilement aux sevices et bien de premier necessité, les peuples et les femmes autochtones ont des logements pracaires sur des parcelles qui leurs ont été accordées en location par les bantous qui est sans aucun titre de proprieté.



English translation by community member emma520



LAND PROBLEMS OF THE INDIGENOUS PYGMIES



The collective for the indigenous pygmy people of Kivu, CAPKIE throughout their animatrice wetewabo munyali aline, come to present to you a part of the misfortunate suffered by the indigenous pygmy women of the land. The indigenous pygmy people and women have always been victim to violations of the rights of man, including expulsion from their ancestral land. These violations find their foundations notably in the implementation of the DRC land policy, between nature conservation and forest exploitation. The pygmies traditionally occupied the forests that now house the PNKB. Toward the 1970s, when the National Park was erected, the pygmies who lives there were simply expelled with neither consultation nor indemnity not even equitable compensation. Due to this, these communities were condemned to the life of wandering and begging, as they were deprived of their ancestral land, vital space and traditional livelihoods. They had forcibly become “sedentaries”, they don’t have land, they are farmers but have nowhere cultivated. Due to the fact that they can’t access their natural resources, they are without revenue. They have difficulty accessing resources of first necessity, indigenous people and women live in precious spaces in lots where the rented granted by the Bantus is no title of ownership.

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