VIOLENCES A L'EGARD DES FEMMES : COMBIEN DE TEMPS DURERONT CES SCENES MACABRES ?



Il s'agit ici d'un cénario qui se déroule parmi plusieurs autres qu'endurent les femmes congolaises dans la partie orientale de la RDC.



Selon la radio "Kivu One" captée à Goma, en province du Nord-Kivu la semaine passée, une femme en état de gestation de plus ou moins 7mois était mis aux arrêts dans la prison de Munzenze pour un conflit de terre.



Le rapporteur de cette information avait précisé que cette victime était incarcérée après que son conjoint l'eût été et qu'il se soit évadé.



Ayant interrogé un avocat, ce dernier a pécisé sur la voie des ondes qu'il est normal que la femme, en dépit de son état biologique peut connaître l'emprisonnement s'il est vrai que ses actes lui rendent coupable dans cette affaire et que au moment oùsa grossesse évoluait, elle peut être retirée pourêtre déposée dans une institution hospitalière où elle peut accoucher normalement.



Qu'à cela ne tienne, pourquoi la femme peut être arrêtée en lieu et place de son mari se trouvant en état d'évasion ?



Les conditions hygiéniquement précaire dans cette lieu de détention n'expose t-elles pas cette pauvre femme à un accouchement difficile et notamment à une mort tragique ?



Pour des raisons d'ordre humanitaires, l'arrêstation de cette femme n'entraîne pas la compromission de la vie de ses enfants abandonés à leurs triste sort ?



Nous estimons que la femme congolaise a tant souffert et qu'il y a lieu que la justice soit faite en sa faveur, si l'on veut solidifier la société congolaise toute entière.



Nous décrions de vive voix ces agissements qui humilient la femme/

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