Les spéculations sur l'héritage des femmes entre droit positif et coutumier



L'héritage des enfants dans le ménage surtout Africains cause de sérieuses difficultés entre droit positif et coutumier
Les spéculations tournent autour des filles et garçons voulant savoir si la femme elle aussi peut hériter les biens de ses parents ?
Mon point de vue par rapport à cet thème est le suivant
Il n'existe pas un peuple sans culture et un peuple sans culture est pret à disparaitre
La culture c'est le mode de vie d'un peuple , pas au monde un peuple sans culture
Dire culture d'un peuple c'est la manière d'etre : façon de s'exprimer ou de parler , la façon de construire , la façon de s'habiller , la façon de celebrer leurs ceremonies : deuil , heritage , mariage , ceremonies ancentrales , de se communiquer , la manière de consommer et de préparer les aliments , la manière de prendre part ou participer à une rencontre , la manière de partager l'amour ou se multiplier , la manière de definir la dot pour le mariage , la part des uns et des autres ect
Pour le cas precis de l'Heritage de la fille , pour moi je peux dire oui et non
Oui , parceque elle fait partie de la famille du défunt decuus et dans notre culture on dit dans une expression du peule Shi : Ahawakaburha Muzungu , wakaburha madame c'est à dire au lieu que votre fils devient patron mieux vaut que votre fille soit épousée par un patron . Aussi parceque la fille de ménage a un amour approfi dans sa famille et assiste trop sa famille par la scolarisation de ses frères , assiste regulièrement les membres de sa famille en difficultés de meme que ses parents que le fils de ménage qui parfois est contre ses frères et soeurs , il peut avoir des biens qu'il ne peut pas pas servir à ses freres et soeurs ni à ses parents biologiques
Si le défunt n'a pas laissé un garçon , la fille peut hériter les biens du défunt avec trop de problème une fois mariée car son mari va devenir le gerant de ce patrimoine laissé par le defunt . Dans ce cas il faudra qu'il y ait concensus
Dans ce cas là je soutien l'idée selon laquelle la fille peut sans doute heriter les biens de sa famille
Non , parceque , dans les regimes matrimoniaux si le couple a adopté le regime universel , la fille devenue mariée gere les biens de son ménage et à la longue les biens de la famille ou elle s'est mariée
Ses frères ne disposant pas trop de moyens pour venir au secours leurs enfants sont obligés de compter sur le patrimoine laissé par les parents ou le défunt . Dans ce cas là , la fille devenue mariée ne doit plus trop demander à ses frères qui absolument n'ont pas assez de moyens de survie . Au cas ou la fille devenue mariée trouve des difficultés là ou elle est partie , sans doute ses frères peuvent lui venir en aide est c'est de leurs devoirs de le faire , car aussi si le mariage n'a pas réussi elle peut encore rentrer chez elle ou chez ses frères en conseil de famille et sera bien réussi
Propositions par rapport à ce theme que les sages de differentes cultures puissent se rencontrer avec les detenteurs d'enjeu du droit positif magistrats des cours et tribunaux pour trouver un terrain d'entente si non le droit positif doit s'imposer contre la coutume ou culture alors que la culture c'est toute une vie



English translation by community member JPCampbell0258



SPECULATION ABOUT THE INHERITANCE OF WOMEN BETWEEN STATUTORY AND CUSTOMARY LAW



The inheritance of children in the household, especially in Africa, causes serious difficulties between state and customary law.
Speculations that revolve around boys and girls that want to know whether women can also inherit the property of her parents.
My point of view in relation to this theme is as follows:
A people without culture does not exist; a people without culture is on the brink of disappearing. Culture is the way of life of a people, a people without culture does not exist in the world. The culture of a people is the way to be: how to express oneself or speak, how to build, how to dress, how to celebrate their ceremonies: mourning, inheritance, marriage and ancestral, how to communicate, how to eat and prepare food, how to join or attend a meeting, how to share the love and multiply, how to define the dowry for the marriage, the share of each other ect In terms of the specific case of the inheritance of girls, for me, I can say yes and no.
Yes, because she is a part of the deceased’s family and in our culture we have an expression from the Shi people: Ahawakaburha Muzungu, wakaburha madam means that rather than your son becoming boss, it’s better that your son is married to a boss.
Also, because the daughter of the household has a deep love for her family and assists her family in the education of her brothers and regularly assists the members of her family during times of hardship, she assists her parents like she assists sons of the household who can sometimes be against his brothers and sisters, there can be goods that he does not use to serve his brothers and sisters nor his biological parents.
If the deceased did not leave a son, it can be very problematic for a daughter to inherit the deceased's property once she is married because her husband will become the manager of the estate that was left by the deceased. In this case there would have to be a consensus.
In this case I support the idea that the girl can inherit the family property
No, because in matrimonial systems, if the couple adopts the universal regime, the married girl manages the assets of the household and eventually the property of the family she married.
Her brothers don’t have many ways of supporting their children and are forced to rely on the heritage left by the parents or the deceased. In this case, the married girl no longer needs the help of her brothers who definitely don’t have enough resources to survive.
If the married girl finds hardship where she married, her brothers can come help her and it is their duty to do so. Also because if the marriage does not go well she can always return to her home or at one of her brother’s home as a family council member and it will be successful.
The proposals in regards to this theme must include the views of wise men from different cultures and of the state law judges of the courts. Or else state law will impose itself against customs and culture, even though culture is all of life.

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