L'ANALPHABETISATION NUMERIQUE POUR LES FEMMES PAYSANNES EN RDC



Aujourd’hui, la nouvelle technologie est largement reconnue comme un catalyseur essentiel pour le développement socio-économique, cette campagne permettra donc de renforcer les efforts gouvernementaux pour promouvoir la participation des femmes au Secteur numérique et sera un élément clé dans la réalisation de l’un des objectifs du millénaire pour le développement, celui sur l’égalité entre les sexes. L’offre des compétences numériques à plus au moins un chiffre qui n’atteint pas 100 % des femmes contribueront à renverser le paradigme selon lequel, dans d’autres provinces et la RDC en général ; la nouvelle technologie de l’information bénéficie d’abord et avant tout aux hommes parce que les femmes ne fréquentent pas souvent l’internet c’est-à-dire quelle que femmes autonomes parfois une seule fois par semaine. Selon leur rend sociaux ne les permettent pas à approcher l’internet pour faire de rechercher.
En effet, nous avons encore un préoccupation sur les femmes paysannes qui n’ont jamais entendu parlé de la technologie, et même les ordinateurs, pas d’électricité dans certains coins de l’étendu de la RDC ; comment pourrions-nous vulgarisé l’information sur la technologie ? au moment où les matériels didactiques et les conditions ne sont pas réunies ?
Et même celles qui sont formées, si elles ne mettent pas c’est la en pratique, cette connaissance est nulle. Nous devons avoir plusieurs centres d’apprentissages numériques dans toutes les 11 provinces de la RDC, ces femmes formées pourront tirer partie de la puissance de la technologie ; elles pourront aider leurs communautés à accéder à des informations spécifiques, à la connaissance, à des nouveaux débauches professionnels, elles pourront améliorer leurs compétences, et surtout, participer à l’ère moderne de la connaissance numérique, pas seulement comme consommatrice mais aussi comme productrices actives des connaissances. Nous voulons que ce programme d’analphabétisation numérique puisse être dans nos langues locales ou fournir les ressources dont ces centres d’apprentissages pourraient avoir besoin pour la formation : les peuples autochtones, personnes vivent avec handicapes, des personnes vulnérables violée et sans accès aux technologies de l’information.



English translation by community member Fletcher Cowan



Today, new technology is largely recognized as an essential catalyst for socio-economic development. This campaign will thus permit, and reinforce, government efforts to promote the participation of women in the digital sector, and will be a key element in achieving one of the developmental objectives: equality between the sexes. Offering digital competence to 100% of women, will help topple the paradigm in other provinces, and the DRC in general. New information technology first and foremost benefits men, because women do not frequently use the internet; that is to say that independent women sometimes only use the internet one time a week. Their social status may not permit them to use the internet for research.
In essence, we still have a problem with peasant women who have never heard of technology, or even computers, living without electricity in certain corners of the DRC. How could we popularize information about current technology when didactic materials and conditions are not uniform? And even those who are informed about the technology, if they never put it into practice, that knowledge is useless. We have to have several learning centers in all 11 provinces of the DRC. These informed women will be able take advantage of the power of technology. They will be able to help their communities gain access to specific information, knowledge, and new job opportunities. They will be able to improve their skills, and most importantly, to participate in the modern era of digital knowledge, not only as a consumer, but also as an active producer of knowledge. We want this digital literacy program to be in our local languages or to supply the resources of which the learning centers will need to have for their formation: native peoples, people living with handicaps, and people vulnerable to violence who don't have access to information technology.

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