DIFFICULTE RENCONTRENT LES FILLES INTERCTUELLE DU SUD-KIVU



Les filles et les femmes connait des multiples problèmes dans les milieu professionnelle même dans la vie social par mis les difficulté nous pouvons dire que beaucoup des responsables considèrent les filles comme esclave sexuelle et ensuite quelle peut se cachée en raison purement culturelle ,elles ont honte de dire les problèmes quelle connait dans les milieu professionnel les fille au travail la plus part de responsable prendre les fille comme leurs femme portatif .


Par le fait que les programmes n’a vait pas spécifiquement cible les filles ce pour quoi les filles et les femmes déclare les victime dans les milieu professionnel par ce que beaucoup des chose se différent entre les garçons et les fille au travail ce que nous avions remarque que Dans le territoire de Mwenga, par exemple, la déconsidération de la femme est relevée par Pacifique BALAAMO (2004)7 quand il affirme que : même si les fille étudie leurs capacité ne les per met pas de travail comme les garçons ce que les societe congolaise disait, ce pour la raison que les salaire sont inégale dans beaucoup société privée et étatique.
Par mis les cause de cette difficulté rencontre le fille intellectuelle du sud kivu au travail est que : 1 le culture congolais néglige les filles
2 l’éducation des filles ne sont pas encourage
3 si les fille étudie les société le considère comme une chose
4 certains parents obligent leurs fille de ce marie avant qu’elle ter mine les études
5 beaucoup de disait que il ne peut pas se marie avec une fille qui a étudie
6 Le mariage précoce pour certaine filles étudiante
Les filles sont considère comme les domestique
Les femmes au Sud-kivu connaissent des problèmes multiples qu’elles ne peuvent pas résoudre elles mêmes. Il faut que le gouvernement pense à ce là
Voici comment BALAAMO a remarqué à mwenga
« … la citoyenneté LEGA dans cette tradition patrilinéaire est accordée au sens strict aux seuls enfants mâles… c’est ainsi que l’enfant mâle est appelé Wailongo abréviation de « mwana wailongo », ce qui signifie le fils de la famille, de la tribu, du pays, par opposition à la fille considérée comme une étrangère, un être de passage appelé à partir pour une autre famille».
Même au sein de certaines associations, on sent que la discrimination sexuelle est de plus en plus accentuée. Si nous prenons l’exemple de l’association SIDEM (Syndicat d’initiatives pour le développement du territoire de MWENGA), il est constitué de 160 membres effectifs dont 120 femmes et 40 hommes mais dans le comité directeur, composé de 7 personnes, il y a 5 hommes et seulement 2 femmes alors que les femmes sont majoritaires dans l’association par rapport aux hommes (75% contre 25%). Les activités de genre desservent 50 femmes et 21 hommes. On constate que les activités de genre privilégient plus les hommes que les femmes car 53% d’hommes de l’association sont concernés par les activités de genre alors que 43% de femmes seulement en sont concernées. La question que l’on peut se poser a priori est de savoir pourquoi une si grande différence ? Est-ce parce que ce sont encore les hommes qui dirigent l’association ? Est-ce que les femmes sont incapables ou ne veulent pas du tout participer ? La première impression que cela peut
donner est que les hommes veulent toujours dominer même dans les associations mixtes et si les femmes ne s’imposent pas pour ne pas être écrasées par les hommes ils finissent par établir toutes les lois qui garantissent au mieux leurs intérêts. Ce sont, en définitive, les hommes qui sont les plus favorisés.
Parmi les facteurs de blocage au travail de promotion du genre de SIDEM, l’auteur note les points suivants :
▪ Le mépris du sexe féminin par les hommes ;
▪ Le manque de confiance des femmes ;
▪ L’ignorance du concept genre par la majorité de la population ;
▪ L’environnement social guidé par les coutumes et mœurs rétrogrades envers les
femmes.
A cet effet, l’inégale position de la femme au Sud-Kivu peut se résumer dans les faits ci-après Les us et coutumes, les traditions pèsent lourdement sur la femme, pourtant considérée
comme un facteur incontournable de production agricole; le niveau de sa responsabilité politique au plan tant national que provincial est très faible ; sur 10 enfants scolarisés au primaire, on retrouve 4 filles contre 6 garçons et 3 filles contre 7 garçons au secondaire. Au fil des années, cette situation s’aggrave au détriment de la fille.
COMMES PISTE DES SOLUTION
- Le droit de filles égale le droit de garçons
- Mettre en considération les études des filles par ce que elles sont une competence au travail comme le garçon
-prenez les filles en considération
- éducation pour toutes
-Le gouvernement doit résoudre les problèmes des filles etudier au lieu de travail



English translation by community member irenelucia



Difficulties facing the intellectual girls of South Kivu



Girls and women know numerous problems in the professional realm and even in their social lives. Among these difficulties, we can say that many officials consider girls as sex slaves and then they stay hidden because of cultural reasons. They are ashamed of saying the problems that they have had in the professional realm. Concerning girls at work, the majority of officials take them as their concubines.



Because programs do not specifically target girls, girls and women claim to be victims in the professional realm. Because many things differ between boys and girls at work. We remarked that in the Mwenga territory, for example, the discrediting of women was raised by Pacifique BALAAMO (2004), when he affirmed that, ‘Even if girls study, their capabilities do not allow them to work like the boys.’ This is what Congolese society says, and it is the reason why salaries are unequal in many private and state-owned companies.



Among the causes of this difficulty facing the intellectual girls of South Kivu at work are:




  1. Congolese culture neglects girls.

  2. The education of girls is not encouraged.

  3. If girls study, society considers them as things.

  4. Some parents require their girls to marry before they finish their studies.

  5. Many say that they cannot marry an educated girl.

  6. Early marriage for some girl students

  7. Girls are considered to be servants.



Women in South Kivu face many problems that they cannot resolve themselves. The government must think about that.
This is how BALAAMO remarked on Mwenga : “…Lega citizenship in this patrilineal tradition is accorded strictly to male only children… Thus, the male child is called ‘Wailongo,’ abbreviation of ‘Mwana wailongo,’ which means the son of the family, of the tribe, of the country… as opposed to the girl, considered to be a foreigner, a passing being, called upon to leave for another family.”



Even within certain organizations, we feel that gender-based discrimination is more and more marked. If we take the example of the SIDEM (Union of initiatives for the development of the Mwenga territory) organization, it is made up of 160 effective members (120 women and 40 men). However, in the management committee, composed of 7 people, there are 5 men and only 2 women, even though women make up the majority in the organization as opposed to men (75% against 25%). Gender oriented activities serve 50 women and 21 men. It is stated that these activities favor men over women because 53% of the men of the organization are affected by them while only 43% of women are. The question that we can poseat first sight is why there is such a big difference? Is it because it is still the men who manage the organization? Are the women incapable or do they not want to participate at all? The first impression that this can give is that the men always want to dominate, even in mixed-gender organizations. If the women do not assert themselves so as not to be crushed by the men, the men will finish by establishing all of the laws which best guarantee their interests. It is definitively the men who are favored.



Among the factors blocking the work of promoting the gender-equality of SIDEM, the author notes the following points:



-The contempt of the female gender by men
-Women’s lack of trust
-The majority of the population’s ignorance of the concept of gender
-A social environment guided by backwards customs and manners towards women



To this effect, the unequal position of women in South Kivu can be summarized in the following facts:



-Customs and traditions weigh heavily on women, nevertheless considered as an indispensable factor in agricultural production.
-The level of women’s responsibility, on both the national level and the provincial level, is very weak.
-Of 10 children educated in primary school, we find 4 girls for every 6 boys, and in secondary school, 3 girls for every 7 boys.
-As the years pass, this situation worsens to the detriment of the girl.



STEPS TOWARDS A SOLUTION:



-Girl’s rights equal boys’ rights.
-Take into consideration girls’ education, because they are competent workers like boys are.
-Take girls into consideration.
-Education for all
-The government should resolve the problem of girls studying in the workplace.

Like this story?
Join World Pulse now to read more inspiring stories and connect with women speaking out across the globe!
Leave a supportive comment to encourage this author
Tell your own story
Explore more stories on topics you care about