nous di sons stop la torture



Le 10/07/2014 notre centre mama shujaa a reçus une invitation en provenance au bureau conjoint des nations unies au droit humain en RDC.
C’est une conférence de débat avec les autorité politico administrative, judiciaires et membres de société civile a l’occasion de la commémoration de la « journée international de soutien aux victime de la torture. Ce pour ce la notre gouverneur de province de sud- Kivu été par mis nous il nous dit de continuer et de dénoncer les auteurs de la torture.
Le procureur du tribunal de notre province qui nous a montre l’histoire de naissance de la journée internationale de soutien à la victime de la torture et il nous a donne l’occasion de pose de question concernant notre difficulté je s’aie que nous somme intéresse et nous disons stop la torture
Afin d’éliminer totalement la torture et d’assurer l’application de la convention du 10.12.1984, l’Assemblée Générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin "Journée Mondiale de Soutien aux Victimes de Torture".
Cette journée est révélatrice d’une prise de conscience généralisée que la torture, honteuse pratique couramment utilisée dans plus de 150 pays est bien une atteinte à un droit inaliénable de la personne humaine : la dignité.
Il convient dès lors de se mobiliser pour cette journée afin de poursuivre ensemble la lutte contre l’impunité des tortionnaires car il est nécessaire de ne pas oublier que si le Droit International de protection devient peu à peu aujourd’hui un élément d’espoir, son effectivité sera toujours le produit de notre vigilance.
Aucune cause ne peut justifier la torture
Malheureusement, il reste beaucoup à faire, il nous arrive d'entendre le témoignage de ceux qui ont été torturés par des régimes brutaux et de voir les salles dans lesquelles les actes de torture ont été commis, nous ne devons pas oublier pour autant que la plupart des victimes n'ont jamais l'occasion de raconter leur histoire et que la torture n'est pas limitée à une région particulière, à un système politique particulier ou à quelques pays."
"Quinze ans après l’entrée en vigueur de la Convention des Nations unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements sont toujours signalés dans au moins 111 pays du monde, et la Convention demeure le moins ratifié des six traités internationaux relatifs aux droits humains actuellement en vigueur", a déclaré ce jour (mercredi 26 juin 2002) Amnesty International.
Un site à visiter : www.acatfrance.fr



English translation by community member Nancy Janus



We Say STOP to torture!



On October 7, 2014 our Mama Shujaa Center received an invitation from the human rights office of the United Nations in the DRC.
It is a conference with a debate between the political administration, judiciary and members of civil society on the occasion of the commemoration of the “International Day of Support for Victims of Torture.” For that reason our provincial governor of South Kivu was with us. He told us to press on denouncing the torturers.
The prosecutor of the tribunal of our province told us the story of the start of the “International Day of Support for Victims of Torture” and he gave us a chance to ask questions regarding our problem. I know that we are concerned and we say STOP the torture. In order to totally do away with torture and to ensure the application of the Convention of December 10, 1984, the General Assembly of the United Nations proclaimed June 26 the “International Day of Support for Victims of Torture.”
That day reveals a generalized awareness that torture, a shameful practice currently employed in 150 countries, is absolutely an attack on an inalienable right of a person: their dignity.
It is appropriate then, to mobilize in order to pursue all together the battle against impunity for torturers because we must not forget that if the International Right of Protection becomes little by little a beacon of hope, its effectiveness will always be the result of our vigilance.
There is no justification for torture.
Unfortunately there is still much to do. We have to bear witness to those who have been tortured by brutal regimes and to view the rooms in which acts of torture were committed. We must not forget, for all that, that the victims have never had the chance to tell their stories and that torture is not limited to a particular region, a particular political system, or to specific countries.
”Fifteen years after the United Nations Convention against torture and other sentences or cruel, inhumane or degrading treatments went into effect, other kinds of ill treatment are always carried out in at least 111 countries of the world, and the Convention remains the least ratified of the six international treaties related to human rights that are currently in effect,” declared Amnesty International on Wednesday, June 26, 2002.



A website to visit: www.acatfrance.fr.

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