POEME DE LA BEAUTE DE LA RDC

Poème sur la beauté de la république démocratique du Congo.
Congo mon beau pays ou je suis né, ton paysage me rappelle le paradis artificiels ou je fus tant d’années pour soulager ma douce mélancolie.
« Le Congo le grand Congo » ainsi tu es appelé par ceux qui meurent d’envie de te voir, envahissant tes surfaces comme des appelés, pour que ta beauté se laisse apercevoir.
Ton paysage est comme des fleurs qu’arrose un fleure majestueux et puissant qui par court tes surfaces et pénètres ton cœur, pour épargner ta beauté des maux impuissants.
Pendant la pluie, tout comme la sécheresse, jalousement tu gardes ton aspect.
Tes employés et loi luttez contre la malesse par crainte du pire qui engloutit ton respect.
La pire : ce manque de personnalité, qui te rend semblable à un défunt mortel.
En trainer par celui de ta beauté, par faute de soins de ton état naturel.
Ma nation, tu es une belle femme qui en est victime, aussi lui faut elle caresser la beauté, quoi qu’elle en soit symbole ultime, fait de même, grande sera ta personnalité.
Jadis tes dirigeants dans leurs bureaux, je n’aie des palabres pour ton entretien.
Je actuels maitres sont des bureaux, qui te châtient sans aucun de gré de maintien.
Quoi qu’ils fassent, ta beauté est éternelle, car elle n’est ni artificielle, ni synthétique.
C’est un cadeau de la volonté surnaturelle dont on ne peut juger de sa marque de fabrique.

English translation by community member J.Buchanan

"Poem on the Beauty of the DRC"

Congo, my beautiful country where I was born, your landscapes remind me of the imaginary paradises where I have been for so many years to soothe my melancholy.

“Congo, great Congo” you are called by those who are dying with desire to see you, invading your surfaces as though they were called, so they might perceive your beauty.

Your landscape is like flowers, watering a majestic and powerful flower that covers the land and invades your heart, to protect your beauty from evil.

During the rain, as well as the drought, you preserve your beauty.

Your workers and the law fight with the evil, fearing it will consume all your goodness.

The worst: this lack of character, that makes you similar to the dead.

My nation, you are a beautiful woman who is a victim, as one must caress her beauty, because she is its ultimate symbol. Great shall be your personality.

Long ago with the leaders in their offices, I did debate for your behalf.

Your present masters are but offices, who punish you with no thought to your well being.

Whatever they do, your beauty is eternal—it is neither artificial or synthetic.

It is a gift of divine will of which that we can never know of its origins.