GERER LES RESERVES D'EAUX SOUTERRAINES DE LA RDC



L'exploitation des nappes fait baisser le niveau piezométrique (se dit du niveau de l'eau dans un forage ou un puit réalisé dans une nappe) c'est-à-dire, la masse d'eau contenue dans un aquifère reservoire d'eau souterraine constitué par des roches poreuses et permeable. L'exploitation d'un reservoir aquifère doit coincider le taux de prélevement et le taux de renouvelement des eaux (eau de pluie s'infiltre) Pour exploiter une nappe on réalise des captages soit au niveau des exitoires naturels que sont les sources, soit directement dans la nappe par pompage. Une exploitation intensive (cas d'exploitation par multiples forages) peut conduire à son déséquilibre et son épuisement progressif: Il y a alors surexploitation qui menece à longterme l'équilibre de la nappe et ses possibilités de recharge. Quels remèdes peuvent être envisagé dans ce cas? Surveiller le stock disponible de nombreux aquifères et donner l'alerte si le prélévement devient exessif. Deux moyens peuvent être mise en oeuvre en cas de déséquilibre de ressource et prélévement: il faut un service de surveillanc
limitation des prélévement fondé soit sur des mesures financières dissuasives. La realimentation artificielle des nappes: un moyen de plus utilisé actuellement; cette eau prise dans une rivière ou dans un lac artificiel subit divers traitements avant d'être injecter dans une nappe souterrain. Dautre part cette technique permet de modifier la quantité de l'eau de la nappe est trop riche en Nitrate, on peut la diluer en injectant une eau à faible teneur; par exemple on sait que 60 à 100mg par litre de Nitrate est impropre à la consommaton on peut la reduire de 20 à 30mg par litre. or en RDC nous avons 8mois de pluie, nous avons des végétaux qui nous aide à conserver notre nature.



English translation by community member Evjoy



Managing underground water reserves in DRC



The exploitation of ground water lowers the piezometric head (water level in a drilling site or oil well created in an underground aquifer), that is, the body of water contained in an under ground reservoir made up of porous and permeable rocks. The exploitation of an aquifer must match the usage rate and the replacement rate of the groundwater (through infiltrating rainwater). To exploit the groundwater table, abstraction occurs either at natural outlets that are the sources of water, or directly by pumping from the underground water table. Intensive utilization (exploiting via multiple drilling sites) could bring about a disequilibrium and progressive depletion of the water table. Overexploitation threatens the long-term equilibrium of the water table and its possibilities to replenish its stock. What remedies can be envisioned in this case? Surveying the water table levels of numerous aquifers and sounding the alarm if the mining becomes excessive. Two ways can be put in place in case of disequilibrium between the resource and its extraction: A surveillance service (missing text) … a limitation of extraction based on financial disincentives. Artificially refilling the aquifers - currently the most common method used – This water taken from a river or artificial lake goes through diverse treatments before being injected into a subterranean aquifer. This technique allows for the modification of the quantity of water too rich in nitrate to be diluted by injecting water low in nitrate. For example, we know that 60 to 100mg of nitrate per liter of water is dangerous for consumption. We can reduce it to 20 to 30mg per liter. Yet in DRC we have eight months of rain. We have vegetation that helps us conserve our nature.

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