MA VISION DU MONDE SANS VIOLENCE



 



La vie de la femme serait comme dans le jardin d’ Eden. Il régnerait une confiance presque absolue entre l’homme et la femme. Les hommes ne commettraient pas d’erreurs, s’érigerait en auxiliaire, en conseiller…             La femme participerait à la gestion de la chose publique. On verrait des femmes à la tête des communautés, des collectivités, des entités diverses. Elles contribueraient à asseoir la sécurité même dans les milieux reculés. Il n’y aurait pas dans une famille deux camps : la femme et les filles d’un côté, de l’autre l’homme avec aussi quelques enfants. La plupart des familles seraient stables, prospères et verraient avec optimisme l’avenir. Il y aurait peu de divorces, la femme cesserait de vivre comme un oiseau de proie qui se protège même quand il n’est pas attaqué et qui vit toujours dans la peur, sans espoir du lendemain. Tout cela est le contraire de ce à quoi l’on assiste aujourd’hui.



Personnellement, je ne craindrais pas de me promener seule, de travailler avec les hommes. En somme une vie totalement libre. Toutes les filles iraient à l’école, rivaliserait avec des garçons d’égal à égal. On les verrait à la tête des mouvements des jeunes. Leurs talents s’épanouiraient et ne demeureraient pas latents. Les filles seraient plus compétitives. Toutes les fonctions leur seraient ouvertes sans aucune discrimination.



Mes idées pour concrétiser cette vision :



Ma vision est celle d’un monde sans violence ; sans insécurité ; sans agression, sans menace de harcèlement. Dès lors existent déjà. Toutes les constitutions ou presque ont prévu les dispositions pour éradiquer ces maux. Toutes les tribunes internationales ou nationales les décrient,  des activistes des droits de l’homme répercutent au loin les messages. Hélas ! On est loin de la victoire totale. Il faut pour y arriver : - renforcer l’éducation de la fille dès le bas âge - ne plus continuer à présenter la femme comme un être faible - ramener l’homme à un partenaire qui milite pour le genre, l’égalité des sexes - exiger la pratique de nombreuses lois qui sont restées lettres-mortes - le pouvoir exécutif a l’obligation de concrétiser la volonté du législateur - réclamer des droits et non des faveurs.



Depuis que je suis connectée sur WP, j'ai comme un lourd fardeau de voir la femme libérée. Unissons-nous alors pour que ce rêve devienne la réalité. Il y a de l'espoir comme ce n'est plus un secret car chez- nous dit-on que celui qui veut guérir d'une maladie doit en parler!

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